Au centre du Vietnam, Hoi An et Hué

C’est en train, ce moyen de transport que nous avions délaissé depuis l’Inde, que nous faisons la majeure partie des 16 heures de trajet entre Ho-Chi-Minh-Ville et Hoi An.

Hoi An

Ancienne ville de riches marchands, Hoi An mélange avec subtilité ses influences vietnamiennes, chinoises, japonaises, et même françaises. Véritable musée en plein air, le centre ville est interdit aux véhicules motorisés. Loin des klaxons, on prend plaisir à s’y promener, pour admirer les anciens temples, les vieilles maisons et les beaux reflets de leurs façades sur la rivière, ainsi que les milliers de lanternes qui illuminent les rues tous les soirs. Un petit tour de vélo nous a permis de voir pour la première fois l’océan pacifique.

Guidés par Séréna (la fille d’une ancienne collègue de Virginie) et Nam, que nous retrouvons le temps d’une soirée, nous gouttons au meilleur banh my du monde (carrément) : un sandwich vietnamien, composé de pâté, de jambon, de crudités et d’herbes aromatiques fraîches.

 

Hué

Après Hoi An, nous nous arrêtons à Hué, sous une pluie battante. Il est à noter que c’est la première fois depuis notre départ qu’il pleut autant, et aussi longtemps ! Pour éviter la douche, nous visitons le musée d’art contemporain dédié à l’artiste peintre et sculpteur, Le Ba Dang.

Hué fut un temps l’ancienne capitale de l’empire vietnamien. La principale attraction de la ville est donc le Palais Impérial et sa Cité Interdite. Très abîmé par le temps et la guerre, on arrive malgré tout à imaginer l’immensité des lieux et à admirer la beauté de ses bâtiments. A vélo, et entre les gouttes, nous visitons également les environs du palais, et allons jusqu’à la pagode Thuen Mu.

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