C’est d’un trait que nous rejoignons Vang Vieng depuis Bangkok. Un trait incluant un bus de nuit, une traversée de frontière avec des agents qui ne savent plus quel jour on est, deux bus pour traverser la capitale laotienne et en rejoindre un troisième – le plus surprenant que l’on ait jamais pris, moitié bus, moitié camion de déménagement – pour atteindre Vang Vieng.