A la Paz, nous réceptionnons Anaïs.
Pour lui laisser le temps de s’acclimater à l’altitude, à la culture, aux mœurs routières (certes plus appréciables que celles d’Asie, mais quand
même un peu plus oppressantes que chez nous) et de se remettre du décalage
horaire, nous passons trois jours à un rythme relativement tranquille. Lire la suite